* HHP - Aperçu (Lyrical Lab) écouté par Pirlouiiiit

A l’heure ou les organisateurs de concerts et maisons de disques continuent à glorifier les pseudo artistes de hip-hop qui font l’apologie de la violence (50 cents vient d’en donner la triste preuve lors de son dernier passage à Marseille faisant l’apologie de la violence armée devant un par terre de minots), il est grand temps de passer à autre chose et de parler de ces groupes qui se servent de ce style musical ô combien entraînant et dansant pour faire passer des messages un peu plus positifs voire carrément éducatifs. C’est le cas de Keny Arkana dont la récente mixtape est un bel exemple, mais aussi, et peut être encore un peu plus, du collectif Hip Hop Parallèle. Déjà remarqués pour leur franc parler et leur sagesse dans la mixtape Ferme pas la porte, les 11 membres de HHP déboulent là avec un album plein jusqu'à la gueule (22 titres – ils ont des choses à dire). Leur message passe souvent par des semi fictions sur fond de fait divers comme ce Quand l’état m’a fait ça qui aborde le scandale du sang contaminé à travers le quotidien d’un mari de victime qui pète les plombs ou encore le con, la pute et le maquereau qui met en scène un homme arrêté avec une prostituée. On remarquera aussi le très œcuménique Sans que ça pousse au crime, hymne a la tolérance ou dans un autre style Ma bouteille dénonçant l’alcoolisme de façon particulièrement réaliste. Au niveau de la forme (aux oreilles du fan de rock / chanson que je suis en tout cas) le hip hop de HHP reste assez classique, un peu trop peut-être (et c’est sûrement ce que les fans de hip hop américain leur reprocheront) ; c’est surtout dans le discours que le groupe se démarque et marque. Sérieux mais tout en étant aussi d rôle par moments comme dans les petits clin d’œil ça et la comme ce « Si je dis qu’je nique l’état c’est le bordel mais si je dis comment et j’l’explique c’est l’plan solennel ». Les multiples chanteurs et écritures contribuent à une richesse de fond et de forme. La seule chose que l’on puisse regretter c’est que certains morceaux très emblématiques comme Activistes présents sur la mixtape comme ne soient pas sur ce disque. Tant pis on ira les re écouter sur scène.
Leur site : http://www.hiphop-parallele.com/

* Guem - Caméléon (2006, Nocturne) écouté par Misszou

Pour ceux qui ne le connaîtraient pas, Guem est « tout simplement » l’un des plus grands percussionnistes au monde et Caméléon en est une nouvelle preuve ! Attention, rien de révolutionnaire par rapport au reste de sa (très riche) discographie. Bien sûr, il y a la technique : puissance, énergie et maîtrise de pratiquement toutes les percussions possibles. Mais ce qui a fait la renommée internationale de Guem, et qu’on (re)découvre avec joie sur l’album Caméléon, c’est surtout cette extraordinaire capacité à sortir la percussion de son « carcan » rythmique. Car c’est bien ça le talent de Guem : un tour de magie qui soudain révèle toute la musicalité et la mélodie de la percussion. Et Caméléon ne trahit pas son « maître ». Ici les inspirations sont riches et variées. Au fil des titres, l’album vous transporte d’un continent à l’autre : Amérique du sud, Afrique, Asie … Tout e une palette d’émotions s’offre alors à vous : calme et sérénité sur Géant, chaleur orientale de Hérisson ou Joyau, joie de vivre brésilienne sur Fleuveou encore transe hypnotique de Bambou …
Un voyage à « écouter » sans modération !!!

* Turner - Slow Abuse (2006, Ladomat / Mute / EMI) écouté par Pierre Andrieu
Site Internet : www.muteplayground.de/turner/

Parfaite pour se replier sur soi-même pendant les frimas polaires, l’électro pop dépressive de Turner mettra un peu de baume au cœur à ceux qui connaissent la traditionnelle baisse de moral hivernale. Et oui, le manque d’ensoleillement, le froid et les pulls à cols roulés n’encouragent pas à sauter de joie du matin au soir. Le disque de l’Allemand Turner est néanmoins imprégné d’une tristesse qui semble plus profonde que la petite déprime passagère, cet homme paraît en effet capable de pleurer sur les plages idylliques de Benicassim à la terrasse d’un café, en plein mois d’août. Si Slow abuse n’est pas un disque franchement gai, les sombres émotions qu’il dégage sont prenantes et finalement assez réconfortantes. La voix gorgée de tristesse, les morceaux dégageant une lumière blanche parfois aveuglante et le dépouillement des arrangements – un piano en apesanteur, un chant tein té de mal-être comme sur certains titres de Depeche Mode, une guitare effleurée faisant ressurgir les morceaux entre gris clair et gris foncé de The Cure, quelques bidouillages aériens façon Röyksopp, et c’est tout – produisent des effets contrastés : une décharge de spleen, suivie d’un sentiment de plénitude, puis d’une sensation de voler au-dessus des nuages, ce genre de pensées insaisissables que seuls les bons disques arrivent à provoquer… Dans un registre proche de l’électro pop mélancolique des excellents The Notwist (mais en moins radiophonique), Turner apporte une contribution marquante à ce style musical contradictoire, en ce sens qu’il permet de se sentir en paix avec ses démons après avoir traversé les affres de la dépression.

* DJ Zebra - French Bastard écouté par Philippe
Site: http://djzebra.free.fr

Le moment est venu de prêter plus d'attention à une nouvelle tendance dite "mineure", initiée il est vrai par les 2 many Dj's et non pas par le présent DJ Zebra (dont Pierre a déjà repéré une galette). J'avais déjà remarqué cet hurluberlu très démonstratif sur scène à un concert de La Phaze sans percuter son petit jeu (mais je crois qu'il ne passait que des remixes) : il fait du mash-up (comme on dit dans les revues gratuites branchées), pratique qui consiste à marier, le plus souvent contre leur gré, deux artistes ensemble.
Théorème de base : plus improbable est le mélange, et meilleur il est… Une technique est d'associer des bêtes de scène mythiques mais évoluant dans des univers sans aucun lien : Michael was a jedi (Dionysos vs Michael Jackson) est comme qui dirait une chanson funkyssime. De même, DJ Zebra souffrant (comme moi) d'un amour immodéré pour -M-, il le pose sans ambages sur un riff stoner (light) de Queens of the Stone Age sur Queen de nous deux, avec un résultat monstrueux et addictif. Mais il le pacse aussi, non sans humour, avec le très viril Eminem dans un bootleg de Machistador (Machistadance) où vient s'incruster Louise Attaque (??), ou encore avec Bowie et même Lyndon Kwesi Johnson…
Une autre technique plus "facile" (fallait-il encore avoir l'oreille pour déceler ces associations) : poser une voix de femme exceptionnelle sur un riff de rock mythique donne généralement de bons résultats, drôles d'abord et convaincants ensuite… Bono la boulette (Diam's vs U2) où la voix de la rappeuse pétroleuse tombe étonnamment bien sur le riff de Desire, et puis surtout Camille as you are (Camille vs Nirvana), un duo qui aurait du exister dans un monde meilleur (l'écouter c'est en rêver !)
Alors bien sûr dans ces unions arrangées de force, il y a des chansons un peu too much, un peu soulèvecoeurantes, comme des desserts trop sucrés (ça n'engage que moi) : Hey villain boy (Chemical Brothers vs Franz Ferdinand), ou encore Toxic h'bibi (Britney Spears vs Mano Negra), et même des associations où on se demande si la mariée, actuellement indisponible, aurait consenti : Alice in France (Noir Désir vs Indochine). C'est ce qu'on entend par l'autre nom de baptème du mash up : la bastard pop ! Et en effet on se dit parfois : "salaud, t'avais pas le droit de faire ça, ils peuvent même pas se défendre…!"
Certes l'érudit en chansons pourra juger la pratique méprisable et facile. Par contre j'affirme qu'il fallait au moins un tout petit peu de génie pour "composer" Louxor in a Trashcan (Katerine vs The Raveonettes, ça tue). Et je suis par contre sûr que Cantat pardonnerait bien volontiers qu'on lui ait associé une déesse de la soul dans Soul desir (Aretha Franklin vs Noir Désir), chanson tout à fait jouissive que je vous défie d'écouter sans remuer au moins une fesse.
Si j'ai bien compté DJ Zebra a mis 17 chansons en téléchargement libre (et environ 3 fois plus annoncées), excellente technique marketing qui laisse l'auditeur la bave aux lèvres. Alors la prochaine fois que vous croiserez sa route, laissez donc les critiques pisse-froid s'emmerder en back-stage et profitez-en pour danser comme des fous… En attendant DJ Zebra c'est gratuit sur le web ou à la radio (Ouï FM) et y'a même un nouveau CD à commander (visuel ci-joint) des fois si vous tombiez vraiment accro…
 

* Les Bronzés, Amis pour la Vie vu par Philippe

3ièmes du nom, donc. De quoi se méfier : deux films totalement mythiques, quasiment des monuments historiques, et là comme ça, une suite ? Bon après tout ça se tente, un soir de perdition. Bonne nouvelle : les sbires du Splendid ne sont pas devenus plus intelligents, ni moins. Leurs blagues ne sont pas plus drôles, ni moins. Ce troisième opus ne dénature donc pas les deux premiers, même trente ans après !
Des changements substantiels évitent la paresse scénaristique (le loser n'est plus forcément celui qu'on croyait, le cocu non plus), des clins d'oeil sans lourdeur au passé, des acteurs qui excellent dans un cabotinage qui reste supportable (par exemple, qui l'eut crû, Christian Clavier n'a aucune difficulté à jouer un gros con, ni Thierry Lhermitte un vieux beau…).
Des gens qui sont capables de se moquer d'eux-même à ce point et avec tant de méchanceté, ne peuvent pas être devenus complètement pourris… leur mauvais esprit légendaire est intact ! Vous aviez ri ? vous rirez encore. Vous l'aviez vu à la télé ? Vous pourrez encore le voir à la télé. Mais si vous avez eu une journée merdique, ne boudez pas votre plaisir - vraiment, c'est le spectacle idéal pour décompresser.
 

* La Passerelle reregoûté par Pirlouiiiit

La Passerelle lieu magique qui a ses débuts était une librairie de BD + un restaurant + une agence de voyages + un bouquiniste, reste l’une des principales librairie de bandes dessinées de Marseille, et en plus d’être le repaire d’un bon paquet de rockeurs (Neurotic Swingers, Elektrolux, Lo, …), cela reste un très bon petit restaurant. Petit, un peu par sa taille (encore que derrière il y a quand même de la place) mais surtout petit par ses prix qui sont vraiment plus que raisonnables. Donc si un jour vous ne savez pas ou manger dans le coin (et pourtant il y en a un paquet de bons restau) et bien pourquoi pas la ? Une des valeurs sures du coin avec les Dos Hermanas pour ceux qui ne craignent vraiment pas la cigarette, le Temps des Mets et son menu a 17 euros entrée plat dessert copieux et très bon, Le Pavillon Thaï pour ceux qui ne craignent pas les odeurs de fritu res, et bien d’autres encore …
 

* Rouge est ma couleur, Bd de Jean-Christophe Chauzy et Marc Villard (Casterman) lu par Celine

Zoé est droguée et fille de policier. Mais pas n'importe quel policier, un de ceux qui n'aime pas les flics.
Un type droit et juste qui vient de perdre son équipier et sa femme.
Et c'est avec l'aide de sa fille qu'il va venger la mort de son collègue, en s'infiltrant dans le monde glauque des flics de la stup.
Ces deux écorchés par le monde, vont ensemble revenir à la vie… et à la mort.
Beau scénario issu du roman de Villard, mis en images par le déssinateur de Béton armé et La vie de ma mère. Un bon polar noir.

* La vengeance du comte Skarbek (Dargaud) dessin de Grzegorz Rosinski, scénario de Yves Sente lu par Pirlouiiiit

J’ai eu l’occasion de relire récemment cette histoire en deux tomes (Deux mains d’or et Un cœur de bronze) et je dois avouer que je me suis laisser balader de rebondissements en rebondissements dans le Paris et les Amériques des derniers pirates. Ce scénario fort sympathique qui nous laisse certes très peu de chance de deviner ce qui va se passer (puisque nous sommes places dans la position d’un spectateur a qui est contée l’histoire), est une fois de plus magnifié par le trait du papa de Thorgal. L’apparition de quelques personnages historiques rend l’histoire de ce comte plus réelle, et lorsque arrive la dernière page on regrette que cela soit déjà fini … Finalement je ne vous ai quasiment rien dit sur l’histoire mais c’est volontaire.

* Faire danser les filles, une bédé de Luz lue par Philippe

Faire le DJ pour de vrai, ailleurs qu'à la maison pour les potes… qui n'a jamais été tenté ? Fort de ses goûts très éclectiques en musique (ses bédés sont bourrées de références) et d'une belle collec' de vinyles, un beau jour, le dessinateur Luz (rappelons son oeuvre majeure Les M….t gèrent la ville juste pour le plaisir) s'est lancé, avec un objectif de base, faire danser les gens, et donc, Faire danser les filles… certes voilà bien tout le problème de base d'un deejaying réussi !
Parce que si on met que de la musique de mecs (genre, du punk rock) les filles s'emmerdent, ne dansent pas et s'en vont. Alors qu'en faisant le contraire (genre, du R'n'B), les filles dansent et donc les mecs aussi (en démonstration), même si ce n'était pas leur musique de prédilection… Après avoir présenté une vision drôle et universelle de l'enfer volontaire des festivals et concerts de rock (Claudiquant sur le dance floor que vous avez sûrement lu si vous nous faîtes un peu confiance), notre bien-aimé Luz raconte ici sa deuxième marotte après le dessin humoristique : pousser des disques.
Outre les petites et grosses anecdotes du hobby (l'angoisse du blanc entre deux titres, la pathologie du triturage de boutons, les nuits blanches passées à ressasser un enchaînement qu'on aurait dû faire), on apprend aussi des choses plus étonnantes : que des filles font les DJs aussi bien et mieux que les mecs, mais surtout que le machisme s'exprime aussi dans ce milieu très masculin. "Quand ils tripotent pas tes nichons, ils tripotent tes boutons !…" peste une activiste féministe des dance floors.
Bien sûr cela laisse de la place, comme dans l'opus précédent à des digressions théologiques sur la musique (exemple : la déconstruction du concept il est vrai honteux de "musique de gonzesses", ou encore la preuve que le Punk'n'B est la musique du troisième millénaire). Il y a aussi des saynettes parfois hilarantes, des retours sur des sets de DJ (les siens et ceux des autres), ou des concerts : Luz a vu comme nous l'infâme prestation de Pete Doherty à Rock en Seine 2005 mais l'a trouvée plutôt attendrissante (preuve s'il en fallait une, que c'est vraiment un type sympa).
Et puis Luz nous permet de confirmer des choses très importantes même si on les soupçonnait déjà. Entre autres, que les dentistes ont des goûts de chiotte en musique, du genre à rendre la séance encore plus pénible - il finit par se concentrer sur le bruit de la roulette pour ne plus entendre Julien Clerc. Mais aussi que dans leurs congrès, les jeunes UMP - non contents d'exister - sont capables de slammer sur les infects Lacs du Connemara !
Pour finir, on partage la détresse existentielle du DJ qui se fait voler son sac de vinyles collectors… et on en conclut avec Luz que le DJing ne sert à peu près à rien, sauf à faire partager un peu de soi aux autres et à rendre la vie moins moche. Et que cette bédé, comme la précédente, nous a fait hurler de rire et noter une bonne dizaine de référence de disques qu'on a envie d'écouter.

Cette semaine des albums des occitans énervés Dupain en concert au Moulin le 24 février avec David Waters) à gagner.

Pour cela, il faut répondre à cette question : « A qui est dédicacé Les Vivants lors du concert de Dupain à l’Escale Saint Michel en janvier ? » (Réponses à trouver sur le site, rubrique Critiques de concerts. Puis envoyez nous votre nom, prénom et adresse à contact@liveinmarseille.com avec "Concours Dupain" en sujet du mail. Les adhérents à l'association étant prioritaires pour les concours, indiquez votre numéro d'adhérent.
Vous pouvez adhérer à Live In Marseille pour soutenir notre démarche. Vous trouverez tous les détails : ici.

* Adhésions 2006 à Live In Marseille

Vous pouvez adhérer à Live In Marseille pour soutenir notre démarche. Vous trouverez tous les détails : ici.

* Annuaire des labels, associations et sites musicaux

Retrouvez un annuaire (incomplet car en cours d’élaboration) des Associations, Labels, Institutions et Sites Internet actifs dans le secteur des musiques actuelles sur le site (http://www.concertnco.com/marsassoc.php)

* Agenda militant

Retrouvez un agenda militant complet sur www.millebabords.org

* Stages de l’AMI

Tarif: adhésion 2006 à l’A.M.I./10 euros
Pour s’inscrire 04 95 04 95 50 ou par mail à info@amicentre.biz
A.M.I- Centre national de développement pour les musiques actuelles -La Friche la Belle de Mai- 41 rue Jobin 13003 Marseille

- Mode - Stylisme - 13 au 25 février - Friche la Belle de Mai
Avec Béatrice Paschen (SKALP/ Marseille) http://skalpbeatrice.free.fr
Tous niveaux
Approche du stylisme individualisée avec des méthodes simplifiées.
- MAO/DJing - du 13 au 25 février - Friche la Belle de Mai
Avec Fred Berthet (Biomix/Marseille) www.biomix.org
Tous niveaux
Approche individualisée selon chaque participant (compétences, motivations, projets).
Musique Assistée par Ordinateur (MAO) :
Découverte des possibilités du home-studio : initiation aux principaux logiciels de composition musicale et de traitement du son (Cubase-SX, Live Ableton, Reason, etc…). Apprentissage de la création d'instrumentaux. Exercices pratiques d'enregistrement et de mixage voix/instrumentaux.
Mix DJaying : Apprentissage et perfectionnement de la pratique du mix électro sur platines vinyls : sélections musicales, enchaînements, calage au tempo, principes d'équalisation et de mixage. De l'initiation, jusqu'à la construction de set.
- Scratch – du 6 au 30 mars– Mix Evolution 13 au 52 Cours Julien- 13006 Marseille
Avec DJ Rebel (Mix Evolution 13/Marseille)
Tous niveaux
Approche individualisée selon chaque participant (compétences, motivations, projets).
Initiation à la pratique du mix et du scratch. Découverte du matériel utilisé et de son fonctionnement : les platines vinyls (le plateau/type d'enchaînements/vitesse, le bras, la cellule), la mixette (le cross-fader, les réglages), le système-son (connectique, branchements, rendu sonore). Historique du DJing : de l'apparition des premiers DJs, jusqu'à aujourd'hui (l'évolution de la place du DJ dans la musique, les influences musicales, les figures marquantes). Apprentissage des bases techniques : le toucher (le positionnement des doigts sur les disques), le mixage (les enchaînements, le calage au tempo), les techniques de scratch (Niveau débutant : le baby, le cut, le transformer, le chirp. Niveau intermédiaire : le crab, le flair, le beat-juggling).

* Cours de stylisme

L'association FIL DE MODE (créée par Béatrice PASCHEN / SKALP) donne dorénavant des cours de stylisme tous les samedis de 16 h à 19 h au 218 rue d'endoume 13007 Marseille - Bus 61 ou 80 -
tarifs : 4,5 euros de l'heure et par personne
insciption à l'avance et libre sur au moins deux heures obigatoires
Les cours se déroulent en commencant par le dessin - techniques simplifiées-le patronage ou le moulage sont l'étape suivante puis la réalisation dans la toile puis le tissu de votre choix.